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Regimiento de Artillería de Campaña nº20

escudo del Raca Nº20

Historique

  • • Naissance et histoire du RACA n° 20

    La création et la guerre d'Indépendance (1808-1814)"

    indépendanceCe Régiment est organisé ex novo pendant la guerre d'Indépendance espagnole. Le 27 octobre 1808, la Junte Suprême donne l'ordre de sa formation. Compte tenu de sa constitution particulière, puisqu'il s'agit du premier régiment d'artillerie montée à exister dans la Péninsule, il reçoit le nom de « Brigada Maniobrera » (Brigade de manœuvre) et est initialement rassemblé à Séville.

    Ces artilleurs vont très vite aller au combat contre les Français en appliquant les nouvelles techniques requises par l'organisation particulière de leur unité. En février de l'année suivante et intégrés dans l'armée de La Mancha, ils ont leur baptême du feu lors d'une action couronnée de succès contre un corps de cavalerie français à Mora (Tolède). Fin juillet, il participe à la bataille de Talavera (Tolède).

    Au cours de l'année 1809, le régiment fut également actif en Estrémadure, retourna à La Mancha puis se rendit en Andalousie. Après la défaite espagnole à Ocaña, il s'enferme avec le gouvernement sur l'île de León (Cadix), en 1810, pour contribuer à sa défense. Les obstacles naturels, ainsi que les fortifications et les batteries de la région, ont fait de l'île un bastion imprenable qui résiste au siège de la meilleure armée de l'époque. En 1811, les escadrons d'artillerie peuvent même effectuer des sorties sporadiques pour attirer les forces françaises et réduire la pression sur l'île de León assiégée.

    En pleine guerre d'usure, le régiment est divisé en deux parties : l'une luttera contre les Français en Estrémadure lors de la bataille de La Albuera (Badajoz), tandis que l'autre partie se dirige vers Almeria et Murcie, où elle prend part à la levée du siège de Sagunto et participe à la défense de Valence en janvier 1812. Avec la capitulation de la ville, les membres du Corps sont faits prisonniers par les Français et emmenés vers des camps en France.

    Bien sûr, l'histoire de cette unité ne s’arrête pas là. Plusieurs officiers parviennent à échapper à la vigilance de leurs ravisseurs et à regagner Cadix où le régiment monté est réorganisé et à nouveau réparti entre la Troisième armée et l'armée de Réserve. À partir de 1813, les batteries intégrées dans la première opèrent dans la région de Levante jusqu'en Catalogne. Et celles qui faisaient partie de la Réserve, à travers l'Estrémadure et la Castille jusqu'en Navarre. Et ce, dans les deux cas, jusqu'à la fin de la guerre d'Indépendance.

    En août 1814, lorsque la paix est signée avec la France, le Régiment est à nouveau réuni dans la ville qui l'avait vu naître.

     

    Le règne de Ferdinand VII (1808-1833)

    fernando-viiÀ la fin de la guerre d'Indépendance, Ferdinand VII « le Désiré » remonte sur le trône d'Espagne, inaugurant la période que l'historiographie classique appelle le « Sexennat absolutiste » (1814-1820). Une période historique marquée, entre autres caractéristiques, par les « pronunciamientos » et les conspirations libérales. Pendant cette période, le régiment reste, normalement en garnison à Séville. Il convient de noter qu'en 1815, le roi lui a accordé le privilège d'utiliser une bannière en récompense pour ses actions pendant la guerre d'Indépendance.

    L'insistance des libéraux à imposer au monarque un gouvernement constitutionnel conduit au succès du pronunciamiento de Riego à Las Cabezas de San Juan le 1er janvier 1820. Cette année, le régiment fait partie des forces gouvernementales absolutistes qui tentent d’étouffer la rébellion. Cet épisode prend fin le 9 mars lorsque le roi, ayant surmonté sa résistance initiale, prête serment à la « Pepa » (la Constitution de 1812), laissant place au « Triennat constitutionnel » (1820-1823). Sous les ordres du nouveau gouvernement libéral, le régiment est envoyé d'abord à La Mancha, puis en Aragon, pour réprimer les soulèvements des partisans absolutistes mécontents nostalgiques de l'Ancien Régime.

    A la fin de cette période, en février 1823, le Régiment se trouve à Madrid et est intégré à l'armée libérale d'Andalousie pour faire face à l'invasion des « Cent Mille Fils de Saint Louis », envoyés par les puissances absolutistes de la Sainte Alliance avec le plein consentement de Ferdinand VII.

    Après avoir vaincu les armées libérales, ce Corps fidèle au gouvernement constitutionnel avec celui-ci sur l'île de León, où il tente de résister. Le régiment participe à la fois à la défense de cette redoute et aux sorties de diversion qui ont lieu, sans succès, dans la région de Malaga.

    Finalement, la capitulation des libéraux entraîne le rétablissement de Ferdinand VII dans ses pleins pouvoirs absolus et la dissolution de l'armée, car le roi n'avait pas confiance en sa loyauté. Ce régiment est affecté lui aussi par cette décision.

    Peu après le début de la « décennie sinistre » (1823-1833),  le régiment est à nouveau réorganisé en 1824 et reste en garnison à Séville, même s’il lui arrive de détacher occasionnellement une batterie vers d'autres endroits.

    Le 28 juin 1832, vers la fin du règne de Ferdinand VII, la reine Marie-Christine remet  à Madrid un nouvel étendard à un détachement du régiment, le plus ancien des groupements d'artillerie à cheval existants.

     

    La régence de Marie-Christine de Naples (1833-1840)

    maria-cristina-borbonAprès la mort de Ferdinand VII, une série de guerres civiles débute au prétexte du conflit dynastique pour la succession. Connues sous le nom de Guerres carlistes, elles opposent les libéraux aux absolutistes. Alors que la reine Marie Christine avait remis le gouvernement aux premiers, le frère du défunt roi, prétendant au trône, encouragea le soulèvement des partis absolutistes du Portugal. Pour empêcher Don Carlos de se mettre à la tête des rebelles, une armée opérationnelle est formée à la frontière espagnole pour éviter qu’il n’entre en Espagne. Le régiment est affecté à cette armée, avec laquelle il opère en Estrémadure jusqu'à la mi-1834, date à laquelle il retourne à Séville.

     

     

    La Première Guerre carliste (1833-1839)

    1CarlisteUne fois la première guerre carliste commencée, le régiment fut divisé, comme c’était devenu habituel. Une partie de ses batteries poursuit l'expédition que le général carliste Gómez avait entreprise dans la région de Cadix. Un autre contingent se déplace à Saragosse et opère à Valence, en Catalogne et principalement dans le bas Aragon et le Maestrazgo jusqu'à la fin de la guerre. Le 5 mars 1838, une des batteries qui se trouvait à Saragosse se distingue par sa participation à la défense de la ville, qui était envahie par le brigadier Cabañero, lieutenant du général carliste Cabrera. Une date qui est commémorée dans cette ville sous le nom de « La Cincomarzada ». Lors de cette action, le Régiment gagne la première cravate de l'Ordre de Saint Ferdinand, des quatre que porte son étendard.

    Plus tard, en 1840, une autre batterie est choisie pour escorter la reine régente Marie-Christine et la future reine Isabelle II de Guadalajara à Saragosse. Peu après la fin de la guerre, le régiment est rassemblé dans sa garnison à Séville.

     

    La régence du général Espartero (1840-1843)

    esparteroLa lutte politique entre libéraux, modérés et progressistes conduit à la chute de la régente Marie-Christine et à la désignation du général Espartero comme régent. Le 12 avril 1841, le Régiment s'installe à Madrid, la ville qui devient sa nouvelle garnison.

    Le manque de tact politique du nouveau régent et l'augmentation de la tension sociale en Espagne entraînent de graves troubles de l'ordre public et le soulèvement du général modéré Narváez. Le gouvernement d'Espartero forme l'armée andalouse, dans laquelle s’intègre la majeure partie du régiment, à l'exception des troupes d'une batterie de Séville, qui adhère au soulèvement contre le régent.

    Après la défaite d’Espartero, le Régiment prend acte du changement de gouvernement. Il est envoyé en Aragon pour prendre part au siège de Saragosse, restée fidèle au régent déchu, jusqu'à la capitulation de la ville.

     

    Règne d'Isabelle II. La décennie modérée (1844-1854)

    isabelIILe règne d'Isabelle II proprement dit commence par la « décennie modérée ». La situation politique tendue du pays donne lieu à des soulèvements libéraux progressistes ou carlistes contre le gouvernement libéral modéré, et les batteries du régiment sont dispersées dans différentes villes. Le 11 mai 1844, une batterie est en garnison à Saragosse ; une autre, en avril 1846, part en Galice pour étouffer le soulèvement du colonel Solis, opposé au projet de mariage de la reine. Pendant l'année 1848, les batteries du régiment sont également utilisées pour maintenir l'ordre public, troublé par les révoltes progressistes de Madrid et de Saragosse.

    En 1854, il contribue également, dans cette même ville, à soumettre le régiment d'infanterie de Cordoue qui s’était uni à la rébellion des progressistes. Enfin, le général O'Donnell provoque la chute des modérés lors de la « Vicalvarada », à laquelle le régiment prend part du côté du gouvernement, et s’emploie à soumettre les juntes progressistes et démocrates à Madrid. En reconnaissance de cette action, le Régiment est décoré de la deuxième cravate de l'Ordre de Saint Ferdinand qui figure sur son étendard.

     

    Le biennium progressiste (1854-1856)

    Au gouvernement modéré succède une série de gouvernements progressistes, dont le dernier est dirigé par le général Espartero. Après le départ de celui-ci du gouvernement, le régiment participe en 1856, à Madrid, à la soumission de la Milice nationale qui lui était favorable. Il doit ensuite partir pour Saragosse qui, toujours fidèle à la faction progressiste à laquelle s'étaient jointes les troupes de la batterie présentes dans la ville, dut être assiégée jusqu'à sa capitulation. Pour cette action, le régiment est décoré de sa troisième cravate de l'ordre militaire de Saint Ferdinand.

     

    Le gouvernement de l'Union libérale (1858-1863). La guerre d'Afrique (1859-1860)

    afriquePendant le gouvernement du parti de l'Union libérale en Espagne, un conflit avec le Maroc éclate à cause d'affrontements frontaliers. En raison de l'incompréhension entre les deux gouvernements, la guerre est déclarée le 22 octobre 1859 et le Régiment est intégré dans l'armée d'opérations en Afrique du Nord. Jusqu'en mars 1860, il prend part au conflit africain dans la défense du « camp de la faim », dans l’action « de la Aduana » - une réaction contre une attaque de l’ennemi -, dans la bataille de la rivière Martín et, enfin, il participe à la prise de Tétouan. Une fois la paix signée, il rentre dans la péninsule au début du mois d'avril et reprend ses quartiers à Madrid. Au cours de cette campagne, le personnel du régiment ne subit aucune perte au combat.

    Dans les années suivantes, il maintient deux batteries dans des provinces différentes, l'une à Ségovie et l'autre à Vitoria. En septembre 1863, le régiment quitte Madrid pour prendre garnison dans la ville de Saragosse, où il se trouve encore aujourd'hui. Peu après son arrivée, le 2 octobre, il est déjà employé pour maintenir l'ordre public, perturbé à cette occasion par des protestations des habitants les plus pauvres de la ville contre la très impopulaire taxe d'accise.

     

     

    Les six ans révolutionnaires (1868-1874). La monarchie d'Amédée de Savoie (1871-1873)"

    amadeoAprès la révolution « glorieuse », une nouvelle période de conflits sociaux, dans lesquels interviennent l'armée et ce régiment, s'ouvre en Espagne. Ainsi, en 1869, à Saragosse, il participe à la soumission des républicains fédéraux faisant partie des bataillons de volontaires qui avaient refusé de rendre leurs armes après le mandat du gouvernement provisoire.

    La dynastie des Bourbons étant détrônée, le prince Amédée de Savoie accepte le trône d'Espagne sous le nom d’Amédée Ier. Son élection entraîne une nouvelle confrontation avec les partisans carlistes (1872-1876). Les batteries du régiment participent à ce nouveau conflit en Navarre et en Alava à partir de la fin avril 1872. À la fin de l'année, le conflit s'étant quelque peu calmé, toute l'unité se réunit à Saragosse.

    Cependant, les troubles dans lesquels le pays est plongé affectent le régiment. L’année suivante, le gouvernement ayant contesté la nomination du capitaine général du Pays Basque, une confrontation oppose les autorités et le Corps d’artillerie. C’est dans ce contexte qu’après avoir destitué les officiers d'artillerie, le régiment confie le commandement des batteries aux sergents-chefs de l'unité et à des officiers d'autres armes.

     

    La Première république (1873-1874)

    1republicaLa situation politique et sociale conflictuelle entraîne l'abdication d'Amédée de Savoie, ce qui donne lieu au commencement d’un premier cycle républicain en Espagne. Le mouvement carliste reprend de vigueur, ce qui conduit à une nouvelle action du régiment aux côtés des forces gouvernementales. Il opère sur différents fronts en Aragon, en Biscaye et en Navarre avec un succès mitigé, ce qui oblige le gouvernement à réintégrer les officiers licenciés en septembre 1873. Les batteries du régiment sont présentes lors de la bataille perdue de Montejurra et lors de la levée du siège carliste de Bilbao.

    Il participe également au maintien de l'ordre public à Saragosse après le coup d'État du général Pavía qui met fin à la première expérience républicaine. Ces batteries qui garnissaient la capitale aragonaise sont déplacées vers le bas-Aragon à la mi-juin pour tenter d’éviter les raids carlistes dans cette région.

     

    De la Restauration à la Guerre civile (1875-1836). Le règne d'Alphonse XII (1875-1885)"

    AlfonsoXIIAu début du règne d'Alphonse XII, intronisé après le « pronunciamiento » du général Martínez Campos, les batteries du régiment sont actives dans la campagne carliste jusqu'à la fin du conflit en 1876. Plus tard, ses effectifs occupent différentes zones en Navarre, au Pays basque et à Burgos. En 1879, il entretenait encore des batteries importantes à Vitoria et Logroño.

     

     

     

     

    La régence de Marie-Christine de Habsbourg-Lorraine (1885-1902) et règne d'Alphonse XIII (1902-1931)".

    Alfonso13Cette période est marquée par une tranquillité relative dans le pays et le régiment reste dans ses quartiers Saragosse. Son action ne se rend nécessaire que bien plus tard, au cours du règne d'Alphonse XIII, quand, à la suite de la radicalisation anarcho-syndicaliste, le 9 janvier 1920, une petite partie des troupes du régiment, ainsi que quelques compatriotes, essayent, sans succès, de soulever les batteries de la caserne « del Carmen » à Saragosse.

    Outre-mer, en raison d'un nouveau conflit avec le Maroc, un groupe du régiment est envoyé à Melilla au milieu de l'année 1921, pour prendre part aux combats après le désastre d’Anoual. Cette unité mène diverses actions jusqu'à ce que, par étapes, elle retourne à Saragosse en août 1926.

     

    Le dictature de Primo de Rivera (1923-1930)

    Pour la deuxième fois, le régiment se retrouve sans officiers pendant quelques mois après que le corps d'artillerie a été à nouveau dissous pour avoir refusé d’accepter le remaniement voulu par le gouvernement.

     

     

    La Seconde république (1931-1936)

    segunda-republicaÀ l'époque de la Seconde République, le régiment reste dans sa garnison de Saragosse sans événement digne de mention.

     

     

     

     

     

     

    Guerre civile (1936-1939)

    guerre civileIl serait long de relater les événements militaires du régiment pendant la guerre civile. Au début de la guerre, l'unité est renforcée par des batteries nouvellement créées, jusqu'à trente-cinq, et dix sections indépendantes, qui sont équipées de divers matériels d'artillerie de campagne et même exclusivement de mitrailleuses.

    Pendant les années du conflit, ces unités opèrent dans différentes régions de la Péninsule, comme Huesca, Teruel, Guipuzcoa, Castellón, Vitoria, la Catalogne, Guadalajara, Cáceres, Tolède et Cordoue. L’action de la 12e Batterie lors de la bataille de Belchite est particulièrement remarquable. Elle reçoit d’ailleurs la Croix de l’ordre de Saint-Ferdinand pour son action héroïque dans la défense de la ville.

    À la fin de la guerre, avec la réorganisation de l'armée, la structure organique du régiment est modifiée et considérablement réduite, ses groupes étant répartis entre Saragosse et Barbastro (Huesca).

     

     Période 1939-1975

    Par la suite, d’avril à octobre 1944, le régiment est stationné en Guipúzcoa, où il restera jusqu’à la fin de la Deuxième guerre mondiale.  À partir de ce moment, les groupes du Régiment occupent différents casernements entre Saragosse et diverses villes du Haut-Aragon.

     Pendant la période qui suit, la structure organisationnelle du régiment est adaptée aux circonstances de chaque étape. C’est en 1966 qu’il adopte finalement la configuration réduite - consistant en un état-major et un groupe de trois batteries de canons – qui est toujours la sienne à l’heure actuelle.  

     

    Le règne de Juan Carlos Ier (1975 - 2014)

    escudo-españaEn juillet 1979, le Régiment quitte sa caserne traditionnelle de Palafox, au centre de Saragosse, pour s'installer à 9 km de là, à la périphérie de la ville. La nouvelle installation, au pied de la route de Huesca, est plus adaptée aux besoins du matériel et à la formation du personnel. Dans un premier temps, le nouveau bâtiment conserve le nom de l'ancienne caserne.

    Le 18 juillet 1986, le Régiment est intégré à la IIe Brigade de Cavalerie de Castillejos, ce qui rappelle ses origines, puisqu’il a été formé initialement sous la dénomination d’’ « Escadrons d'Artillerie ». Ce nom, reçu au cours des siècles précédents, reflétait bien la mobilité de son équipement et sa capacité d'entrer rapidement en action : une caractéristique qui reste, de nos jours, une qualité essentielle de ses batteries.

    Au cours de ces années, le personnel du Régiment a été intégré dans les contingents envoyés par notre Brigade dans les Balkans et au Liban sous les mandats de l'ONU et de l'OTAN. En outre, nombre de ses membres, à titre individuel, ont été et sont membres des forces espagnoles qui ont été déployées en Irak, dans l’ancienne Yougoslavie, au Liban, en Afghanistan et au Kosovo.

     

     

     Le règne de Felipe VI (2014 à aujourd'hui)

    escudo-españaDepuis le 1er janvier 2017, dans le cadre de l'organisation actuelle de l'armée de Terre, le régiment fait partie de la Ière Brigade « Aragón »qui,; constituée sur la base de l'ancienne Brigade de Cavalerie, maintient son siège à Saragosse.

    Le régiment a fait partie des contingents envoyés par la Ière Brigade « Aragón » au Liban et en Irak, sans oublier les nouveaux scénarios qui se sont ajoutés, comme le Mali et la Lettonie.

    La nouvelle organisation, ainsi que les nouveaux matériels reçus, lui ont permis d'augmenter ses capacités en intégrant une batterie tractée ainsi que des capacités d'appui-feu et de défense anti-aérienne en montagne.y Letonia.